Chronique sur le poème « Un soir, une lettre » de Plume de L’Aurore par Cheikh Tidiane Cissé dans #Ocean_de_Mots
“Un soir, une lettre”
Un titre qui répond son nom de par l’élégance des rimes au deuxième strophe par exemple : griffon ; vois ; abois ; brouillon.
La poésie c’est de la symétrie, de ce fait elle a le don de faire le contour de la beauté, c’est en ce sens que c’est plausible de saisir et comprendre l’expression : “De Ndaar à Sanaar, l’environnement en arc en ciel”. Autant pour mettre en valeur la femme Saint-Louisienne « Ah! jòngoma Ndaar Ndaar » que l’auteure qualifie de « Dames merveilles »
La plume Dabo est d’une finesse qu’elle peut faire sentir le climat apaisant et enrichissant de la terre de Ndaar. Une telle facilité d’écrire laisse imaginer que cette partie du Sénégal est riche en histoire, qu’elle est inspirante, qu’elle est une muse pour tout poète ou poétesse. Mais une telle prouesse seules quelques le peuvent.
D’où la compréhension de l’interrogation : « Comment ne pas admirer Ndaar surtout au Takussane ? »
Ce poème en quatrain (4 vers et 4 strophes) est d’une beauté si riche et profonde que chaque vers cache des merveilles autant pour dire que les femmes de Ndaar sont issues de la beauté saint louisienne qui émerveille.
J’apprécie et je valide ! Ne sommes nous pas entrain de déguster le meilleur poème de l’année. En tout cas j’ai envie de découvrir la suite, qui pourquoi pas parlera les autres facettes des Jòngoma Ndaar Ndaar.
CHEIKH TIDIANE CISSE sur le poème “un soir, une lettre” de @Mariama Dabo ODM, OCEAN DE MOTS
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